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le blog de la vie d'un hamster qui a perdu sa cage car en fait elle était sale et en fait il la mangé, donc, c'est le blog d'un, hamster, si affamé qu'il a mangé sa cage...
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le blog de la vie d'un hamster qui a perdu sa cage car en fait elle était sale et en fait il la mangé, donc, c'est le blog d'un, hamster, si affamé qu'il a mangé sa cage...

VIP-Blog de cochonheureu
akira.otomo@voila.fr

  • 49 articles publiés
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  • Créé le : 18/02/2006 18:53
    Modifié : 15/06/2007 11:38

    Garçon (17 ans)
    Origine : MORBIHAN
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    Meurtre à l'extincteur

    07/10/2006 11:48

    Meurtre à l'extincteur


    Pour éteindre le feu au cul de Marilou
    Un soir n'en pouvant plus de jalousie
    J'ai couru au couloir de l'hôtel décrocher de son clou
    L'extincteur d'incendie
    Brandissant le cylindre
    D'acier je frappe paf et Marilou se met à geindre
    De son crâne fendu s'échappe un sang vermeil
    Identique au rouge sanglant de l'appareil
    Elle a sur le lino
    Un dernier soubresaut
    Une ultime secousse
    J'appuie sur la manette
    Le corps de Marilou disparaît sous la mousse.

    Serge Gainsbourg, 1976.







    L'impression qu'il ne se passera plus rien.

    22/10/2006 22:15

    L'impression qu'il ne se passera plus rien.


    PENSEES SUR DES ANNEES…

     

    Avez-vous déjà eu l’impression d’être seul, comme perdu au milieu des autres ? L’impression de parlez le même langage sans le parler vraiment, que les néons du plafond vous couvrent de noir ? L’impression que vous pourriez crever la gueule sur le trottoir , sans personne pour s’émouvoir.

    La théière fume, alors je me lève et me laisse tomber sur une chaise de mauvaise facture, le thé est chaud et sucré, comme les mains d’une fille, de quelqu’un, de quelque chose. j’osais espérer comprendre un jour où pouvait elle être, mon ablation. M’avait t’on soustrait la santé ? le savoir ? le moral ? bah ! Sûrement les trois, le thé est bu, je me replonge dans mon lit, des miettes de vie ça et là, une fille, un chagrin, une fille. Sans bouger les ailes je n’y comprends plus grand chose, je suis seul, le téléphone aura beau sonner je me sentirai seul, de toute façon il ne sonne plus depuis longtemps, elle est partie, mon sourire avec, mon sourire se transforme en rictus inquiétant. Chaleur caniculaire dans la pièce, je tremble de froid, elle est partie.

    Alors la première question se poser serait la suivante, le célèbre pourquoi ! Pourquoi ? Pourquoi peut ètre parce qu’elle eu la jambe peu scrupuleuse, ou simplement par manque d’envie, peut tre même par dégoùt, qu’importe, elle est partie, partie.

    Le thé fume alors je me lève, l’étagère ronronne, elle est en bonne santé, la théière vient moi et me sert une tasse de thé, gout mangue, gout boulon rouillé, quel est ce goùt infect en ma bouche ? Les mets dignes de roi ont goùt de pourri, voila! Je moisis! j’ai choisi l’amour, la vie, mais j’ai brulé mes ailes, choisi le chemin de la lumière, Icare; comme camarade d’infortune, attention, trop haut trop vite, je suis présent aveuglé de noir. De mes yeux de lynx myopes je déchiffre le cadran lunaire, il est l’heure, le magasin ferme dans peu de temps, pourvu que j’y arrive temps, il me faut un sourire absolument, mes pennes deviennent du venin, je ne tiendrai pas la nuit sans un sourire, il m’en faut un, elle est partie, pourvu que j’arrive temps...






    Autrefois, le temps d'être un autre.

    22/10/2006 22:39

    Autrefois, le temps d'être un autre.


    Autrefois, le temps d'être un autre, j'ai mangé le coeur encore battant d'un homme encore vivant. Il me demanda mais ce laissa faire, ''pourquoi souhaites tu mon coeur? '' ,  je lui rétorqua que cela ne le regardait pas. alors, il eut d'abord, un rire, un peu comme un hoquet, puis, il s'allongea, m'offrant son corps, je pris ce qui me tombait sous la main, a disposition, un ouvre boite tombait a pic, je lui ouvrit le ventre, et j'extrai le petit écrin. au moment de le mettre en bouche il s'exclama '' apprécies le au moins '', il n'avait pas fini sa tirade que j'avais déja tous le sang de l'aorte gauche en moi, furieux, il se leva, et dans un geste de mage il me subtilise le bout de viande, et cours se cacher a moitié nu et a moitié mort dans les escaliers de la salle bleue. Le temps d'etre un autre il s'effondra, dans sa solitude, le coeur en bouche, en bas de l'escalier, je pleurais ce soir la, j'étais inconsolable, il avait mangé tout seul mon festin.




    Le malade

    17/11/2006 00:17

    Le malade


    Mes croutes de solitude se décollent, ne me serais je pas trompé de route? pourquoi ai je lu tant de livre? pour à présent vivre dans le doute? ne me serais je pas trompé de route? je suis le multicolore au dégradé raté, le '' ca aurai pu, mais ce n'est pas fini '' je suis le pas parfait, le brouillon, le sale, le non achevé, je suis comme personne, je raisonne comme tout le monde, triste ironie,  mais je ne m'en plains plus, je suis le malade de mon imagination, d'avance, je suis vaincu




    Je Suis

    06/01/2007 14:05

    Je Suis


    Je suis un mélancolique en demeure  

       Je suis l’osmose sexuelle refoulée                   Je suis un toxicomane potentiel                   

      Je suis le rêveur amnistié     Je suis un branleur conditionné    Je suis l’artiste de mon malheur   

                                                             Je suis l’overdose qui m’écoeure     Je suis un po te de fond de panier  

        Je suis l’écrivain périmé   

    Je suis une bite pour les grosses pouffes                Je suis un spasme qui t’étouffe     Je suis la vérité renier  

      Je suis une valeur sans vertu    Je suis un silence outrancier  

         Je suis inca mais y’en n’a plus     Je suis une âme remanier   

    Je suis celui qui voulait plaire   

      Mais qui n’a pas plu                                                   Je suis celui qui voulait y croire    Sans l’avoir vu 

        Je suis celui qui voulait pourfendre les nues    Et qui s’est retrouvé sur terre

    Assis sur son cul

    Je suis celui                               Je suis celui                           Je suis celui ...






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